Littérature – Patrick Corneau

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Quoi ma gueule ? Portraits (XIV)

Comme le faisait remarquer Jean-Michel Delacomptée dans un récent entretien pour L’Atelier du roman, l’art du portrait représente la quintessence de l’acte littéraire. Sous des..

Polar, yiddish et ping-pong

Il y a deux choses que je n’arrive pas à faire dans la vie : lire la petite feuille de papier dans les boîtes de..

De tout, un peu (26)

De semestre en semestre la revue Les moments littéraires nous apporte son lot de découvertes du continent un peu brumeux, toujours mystérieux qu’est la littérature..

Dante & Fellini

Au Japon, il existe un mot pour qualifier le fait d’empiler les livres sans les lire : Tsundoku. En ce début d’année, on en retire..

Le Lorgnon publie “Biogriffures”…

À quoi bon des portraits littéraires au siècle de la perche à selfie ? Depuis que se mettre en valeur par l’image et le son..

Pascal Commère, Jean-Jacques Salgon et Alberto Beretta Anguissola (Proust)

Sortir des forêts, le titre des “histoires” que nous propose Pascal Commère est plutôt une invitation à y entrer. Et de belle manière, moins pour..

Jean-Pierre Georges, bien sûr !

« Certaines semaines ne sont pas comme les autres : prenez celle, peu fréquente mais redoutable, qui se situe entre le 25 décembre et le 1er..

La vie des spectres

Totus mundus agit histrionem (“Le monde entier est un théâtre”), devise du Globe, le théâtre de Shakespeare “Là où il n’y a plus de dieux,..

Droits de l’âme et vertus de l’amitié

“Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d’un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ?” Franz Kafka..

Huxley revisité

Le livre de science-fiction le plus prophétique du XXe siècle est sans conteste Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley. Sa nature sinistre ne saurait nous..

Jacob Glatstein : voyage et séjour à rebours

J’étais en train de lire Voyage à rebours de Jacob Glatstein dans la merveilleuse traduction du yiddish de Rachel Ertel (réédité au format poche chez..

Embrasements : amour, admiration / colère, haine

Chez beaucoup le ludion de la vie tressaute autour d’un étiage moyen : un peu plus, un peu moins et la vie va, médiocre, tristement..

Écrire pour qui ? Comment ?

POUR QUI ÉCRIRE ? Réponse de Virginia Woolf dans l’introduction de The Common Reader : « Le commun des lecteurs, comme le laisse entendre le..

De tout, un peu (25)

La détestation de Paris est une pratique banale qui n’intéresse d’ailleurs pas seulement les provinciaux (qu’ils soient irrédentistes ou pas), les Parisiens eux-mêmes ne sont..

La nuit des sources

Jacques Robinet était un souffrant dans des mondes que le besoin d’avoir des frères lui a fait quitter. Le huis clos familial, la prêtrise, la..

Le langage dit inclusif et l’arrière de la vie selon Yasmina Reza

Le numéro 118, septembre 2024 de L’Atelier du roman fait un pas de côté avec un solide dossier sur le “langage dit inclusif” – le..

Le sourd et le raté

« La clairvoyance est le seul vice qui rende libre – libre dans un désert. » E. M. Cioran Je viens d’acquérir en solde chez..

Littérature et peinture : Ça paye ?

« Certes il est légitime que l’homme qui rédige des rapports, aligne des chiffres, répond à des lettres d’affaires, suit les cours de la bourse,..

De tout, un peu (24)

Ce petit livre est une curiosité que les éditions La Bibliothèque ont l’heur de nous proposer. Vous connaissez Jean Lorrain (1855-1906) et vous avez en..

Altitudes spirituelles

Qui s’étourdit de Dieu sans se soucier des hommes s’égare assurément. Jacques Robinet, La nuit des sources. Voici sans doute le livre le plus outrageusement..

Á la baignoire !

LIRE – L’apprentissage et le goût pour la lecture : l’ouverture de la mer Rouge. « Le fait de lire de la littérature permet de développer..

Quoi ma gueule ? « Portraits » (XIII)

C’est l’été, l’époque des grandes transhumances, des longs après-midi sous un parasol ou l’ombre bienfaisante d’une frondaison. Sortons nos pinceaux et notre boîte à couleurs..

Quoi ma gueule ? « Portraits » (XII)

C’est l’été, l’époque des grandes transhumances, des longs après-midi sous un parasol ou l’ombre bienfaisante d’une frondaison. Sortons nos pinceaux et notre boîte à couleurs..

Quoi ma gueule ? « Portraits » (XI)

C’est l’été, l’époque des grandes transhumances, des longs après-midi sous un parasol ou l’ombre bienfaisante d’une frondaison. Sortons nos pinceaux et notre boîte à couleurs..