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- Paris hilights
24 août 2024
Quoi ma gueule ? « Portraits » (XI)
C’est l’été, l’époque des grandes transhumances, des longs après-midi sous un parasol ou l’ombre bienfaisante d’une frondaison. Sortons nos pinceaux et notre boîte à couleurs..
14 août 2024
Quoi ma gueule ? « Portraits » (VIII)
C’est l’été, l’époque des grandes transhumances, des longs après-midi sous un parasol ou l’ombre bienfaisante d’une frondaison. Sortons nos pinceaux et notre boîte à couleurs..
10 août 2024
Quoi ma gueule ? « Portraits » (VII)
C’est l’été, l’époque des grandes transhumances, des longs après-midi sous un parasol ou l’ombre bienfaisante d’une frondaison. Sortons nos pinceaux et notre boîte à couleurs..
7 août 2024
Quoi ma gueule ? « Portraits » (VI)
C’est l’été, l’époque des grandes transhumances, des longs après-midi sous un parasol ou l’ombre bienfaisante d’une frondaison. Sortons nos pinceaux et notre boîte à couleurs..
23 mars 2024
Mundus aphorismus
L’occasion faisant le larron ou plutôt l’aphorisme, ma chronique de ce jour ira à l’art du peu, à l’art du bref. Il se trouve en..
16 mars 2024
Paris, Rome
Je me souviens d’une enquête assez ancienne de Télérama auprès d’artistes, de célébrités sur la couleur de Paris. Les réponses étaient unanimes : le gris..
17 juin 2023
Je n’ai pas fait le Marché de la poésie !
« Il ne faut pas oublier qu’un poète est un être confidentiel, nocturne, presque souterrain, qu’un artiste possède une nature de chauve-souris, de rat, de..
6 mai 2023
L’arrière-saison des lucioles
« Ne te soucie pas de ta trace. Tu es seul à ne pouvoir l’effacer. » Edmond Jabès Avec L’arrière-saison des lucioles Henri Raczymow nous..
25 février 2023
Taisez-vous ! (4)
« La vieillesse est une voyageuse de nuit ; la terre lui est cachée, elle ne découvre plus que le ciel brillant au-dessus de sa..
19 novembre 2022
Le temps n’efface rien
Un lecteur m’interpellait récemment sur les 345 romans français de la rentrée littéraire : les avais-je lus ? – Et comment ! J’en retiens deux..
24 septembre 2022
Paris quand même
Jean-Christophe Bailly a publié plus de quarante livres. Sans doute est-ce lui qui, en France, par sa liberté d’allure, son inlassable et éclectique curiosité..
13 mai 2022
Monsieur le merle
Pour Jacques Phillips Les beaux jours sont là et ce matin en ouvrant la fenêtre côté cour, j’entends Monsieur le merle : il est..
3 avril 2022
Bernard Frank for ever
[⏱ 11 minutes] Le hasard d’un séjour dans la maison familiale m’a remis entre les mains un des derniers ouvrages de Bernard Frank – Solde..
27 janvier 2022
De tout, un peu
Après Un si grand silence et La monnaie des jours, Notes de l’heure offerte est la part ultime de la murmurante épopée d’une âme qui..
3 octobre 2021
Capitale
Deux événements m’amènent à parler de Paris et plus particulièrement d’un livre qui se démarque par l’originalité de son projet : Capitale de Jonathan Siksou..
7 septembre 2021
Le zappeur zappé
En 1979, le cinéaste Hal Ashby adapta un roman de Jerzy Kozynski, Bienvenue Mister Chance, où Peter Sellers intoxiqué de télévision sortait dans la rue..
17 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (IX – Fin)
Je ne descends guère de mon cinquième étage avec vue. Il faut qu’un événement dérange suffisamment mon inertie pour rompre le charme qui me retient..
15 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (VIII)
Lui c’est Greg, elle c’est Cloé. Ils n’ont aucun « problème de vie ». C’est l’exemple même du couple idyllique. Ils s’aiment. Ils sont heureux…
13 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (VII)
Nous sommes à La halle Saint-Pierre, un ancien marché au pied de la butte Montmartre reconverti en « Centre culturel parisien de l’art brut et..
11 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (VI)
– Fasciste. – Idiote. – Tu l’es, tu l’as toujours été. – Non, fichiste à mes heures et vichyste pour l’eau… – Tu as trahis…
9 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (V)
Il était ouvert aux promesses de l’avenir, à la surprise. Quant à savoir s’il aimait Lisbeth, c’était une chose que, dès le début, il ne..
7 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (IV)
Le métro filait à travers le XVIe arrondissement plein de nounous accrochées à leurs voitures d’enfant, de Parisiens bien mis, la plupart assez déplaisants :..
5 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (III)
Tous les samedis soirs, elle revient s’asseoir à la même table d’un bar rouge et secret du quartier de la Muette, à la table même..
3 juillet 2021
Sous le ciel de Paris – conte philosophique (II)
Je m’appelle Bébé, j’ai trois ans et demi, sors à peine du stade du miroir et n’aurais pas encore accès au langage d’après Madame Katzmann,..