Paris hilights – Page 2 – Patrick Corneau

- Paris hilights

Sous le ciel de Paris – conte philosophique (I)

To make of this sketch a romanzetto*. Stendhal Une femme, cheveux mi-longs, bien habillée, monte dans le bus 26 sur les Grands Boulevards. Elle se..

À Belleville

Photographier une ville est bien plus concevable, recevable que d’écrire sur elle. L’écriture se déploie sur des profondeurs de temps et de sens qui échappent..

La chapelle de la rue Blomet

Il y a dans ces 90 pages un charme indéniable qui, je l’espère touchera aussi le lecteur. Charme poignant ajouterai-je, car il nous vient d’un..

La passante du bus 26

Cette passante s’est échappée de mon roman… saisissez-la avant qu’elle ne disparaisse à nouveau dans la foule des Grands Boulevards. Une jeune femme, cheveux courts,..

Heures de Paris : les nouvelles minutes parisiennes

Lorsque j’ai reçu ces Heures de Paris : les nouvelles minutes parisiennes, 1900-2020 des Éditions La Bibliothèque, après l’avoir soupesé, humé, tourné, retourné, feuilleté, lu..

Une rencontre

Comme il faisait une chaleur de trente-six degrés, le boulevard Bourdon se trouvait absolument désert. Deux hommes parurent. L’un venait de la Bastille, l’autre du..

Choses vues

Choses vues, lues, entendues ça et là et notées pendant le grand renfermement. Entendu : « Mieux vaut être confiné que con fini ». ..

Mon bébé

Hier soir j’ai regardé Mon bébé, une comédie filmée de Lisa Azuelos. Il vaudrait mieux dire tragicomédie car c’est bien, sous les ricanements obligés, le..

Estivales (10) La vie vivante

Le grand intérêt de l’exposition « Sally Mann. Mille et un passages » au musée du Jeu de Paume est de nous montrer que la photographie si..

La Folie de Meryon : Eaux-fortes sur Paris

Devant le minutieux travail de mon épouse pour réaliser une de ses maisons de poupées, une amie déclara mi-admirative, mi-sceptique : « c’est vertigineusement obsessionnel !« ,..

J’ai fait le Marché de la Poésie !

« Je suis fatigué des poètes […] tous sont superficiels ; ce sont des mers sans profondeur. […] ils troublent tous leurs eaux pour qu’elles..

Hammershøi les yeux fermés

Il faut le dire, on entre au musée Jacquemart-André, boulevard Haussmann, comme dans Le Temps retrouvé le narrateur pénètre dans l’hôtel Guermantes pour la fameuse..

« Voyages »

Cet été, fuyant la canicule dans une ombre apaisante et le secours d’un bon livre, je suis tombé sur un ancien numéro de La NRF..

Paris-Orphée

Publié simultanément aux Etats-Unis par les éditions de la New York Review of Books, Paris-Orphée rassemble des chroniques parisiennes par le poète américain Henri Cole..

Willy Ronis

On croyait connaître l’œuvre du photographe Willy Ronis (1910-2009). On l’avait bien sûr remarquée, appréciée, on l’avait même jugée un peu « légère » en comparaison avec..

Paris philosophe

Ne vous fiez pas au titre. On pourrait croire à un énième guide de tourisme thématique qui s’arrêterait aux traces que la philosophie a laissé..

La tête penchée

Dans ce regard baissé et pensif, il y a toute la nostalgie des vastes plaines mongoles où galopent les petits chevaux de Gengis Khan. Peut-être..

La détestation de Paris

La détestation de Paris est une pratique banale qui n’intéresse d’ailleurs pas seulement les provinciaux (qu’ils soient irrédentistes ou pas), les Parisiens eux-mêmes ne sont..

Étrangers de Paris

Voilà un délice qui ne vous coûtera que dix euros et un plaisir sans mélange. On pensait que tout Vialatte avait été édité. Hé bien..