On sera bientôt en 2017 (un nombre premier, paraît-il), deux-mille-dix-sept en lettres (ça s’écrit de la même manière en belge et en suisse!), MMXVII en chiffres romains.
Au fait, cela devait être difficile pour les Romains de multiplier – je ne parle de reproduire à l’identique mais de calculer. Représentez-vous un chiffre romain un instant, un grand, tiens justement MMXVII par exemple. Observez les colonnes, frontons et architraves: impossible de les bouger, mais comme ils sont beaux! Comme ils sont imposants!
Bon, essayez de multiplier MMXVII par MCCLVIII. Comment s’y prenaient-ils? Je me suis posé la question il y a bien des années et je n’ai jamais eu de réponse car je n’ai jamais vraiment cherché à en avoir (mais c’est agréable de vivre avec ce genre de question…) Peut-être les Romains n’étaient-ils pas vraiment bons en maths, contrairement aux Arabes qui sont arrivés avec des tonnes de chiffres, plein pour tout le monde. On en a même plus qu’il n’en faut maintenant (des chiffres pas des Arabes).
J’ai un 6 et 7, quand je les mets l’un à côté de l’autre cela donne mon âge.
Hum…
Finalement, je préférerais avoir LXVII.
Illustration: origine Pinterest.
Je pense qu’on s’y prend de la même façon puisque c’est de la base dix.
VIII fois VII, LVI, je pose VI, je retiens V, et ainsi de suite …
L comme Lorgnon… ce serait le mien… 😉
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Les « cinquantièmes hurlants »?! 😉
😉
Ben en fait c’est plus compliqué que ça. Je ne vois que Cédric pour nous tirer de ce pétrin. Cédric, à l’aide !
Avec les romains c’est toujours plus compliqué qu’il n’y paraît… A part Astérix et Cédrix, je ne vois pas qui peut nous tirer d’affaire! 😉