Giverny mi-juillet, des centaines de visiteurs, un jardin (médiocrement entretenu) en souffrance après les inondations ne livrant que des parcours strictement balisés, bousculades dans la maison du peintre, l’atelier transformé en « store » où l’image de ce génie est livrée au commerce le plus éhonté, un village disneylandisé prostituant les derniers charmes de la saga impressionniste, une pléiade de « restaurateurs » aussi filous que voleurs, des parkings immenses défigurant la campagne alentour…
Pauvre Monet que n’a-t-on pas fait en ton nom! Le tourisme globalisé est passé par là.
M
Monet, money…
Patrick Corneau