Le retiro, l’endroit clos où jamais l’âme ne se déguise…
Pour certains, c’est un lieu géométrique et temporel secret, ils y sont « présents ailleurs », dans l’angle mort, au « point-repos » (still point) du monde:
Au point-repos du monde qui tourne. Ni chair ni privation de chair;
Ni venant de, ni allant vers ; au point-repos, là est la danse;
Mais ni arrêt, ni mouvement.
T.S. Eliot, « Burnt Norton », Quatre Quatuors.
Illustrations: ©Lelorgnonmélancolique
Je vais vous confier quelque chose. N’en prenez pas ombrage…mais je n’ai rien compris à ce billet…
C’est grave docteur ? 😉
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Ne vous inquiétez pas, rien n’est « grave » chez le Lorgnon. Vous survivrez à l’obscurité éloquente ou à clarté muette 😉 Prenez ce billet comme une sorte de kōan zen… ou méditez le conseil de Kita Minoru (Ecole de Nô) : « L’important, ce n’est pas de comprendre ou de ne pas comprendre, mais c’est la manière dont on ne comprend pas. » 🙂