Alors que la France, dans une cacophonie savamment orchestrée, s’écharpe pour/contre l’improbable réforme de son école, Fabrice Luchini – humaniste autodidacte, vient à point nommé nous donner une belle leçon de « nivellement par le haut » (valorisation de l’effort en mettant la barre très haut, souci du travail bien fait, désir de transmettre et passion du service rendu…).
« A quoi bon des poètes, en temps de détresse? » demandait Hõlderlin.
La réponse est donnée.
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Illustration: Journal du soir de France 2, mercredi 20 mai 2015.
« l’héritage du génie français ». Il faut oser par les temps qui courent.
On sent le gars qui s’est désolidarisé de tout un tas d’idées politiques et d’idéologie.
A mon avis il va bientôt se retrouver sur une liste avec Finkiekraut et Zemmour.
Oui, on sent dejà le fagot prêt pour le bûcher…
« Atypique, fulgurant, alchimiste, hallucinatoire »… »La liberté au milieu de la contrainte ». Belles formules, du sieur Lucchini.
Les grands auteurs ouvrent les esprits, mais qui a intérêt à ce qu’ils se referment ?
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« Qui a intérêt à ce qu’ils se referment? » Les esprits (et ils sont plus nombreux que ce que l’on croit) qui pensent que la liberté porte atteinte à leurs contraintes… 🙂