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De l’utilité du latin, du grec et… de la poésie

hmorganlettrine2Alors que la France, dans une cacophonie savamment orchestrée, s’écharpe pour/contre l’improbable réforme de son école, Fabrice Luchini – humaniste autodidacte, vient à point nommé nous donner une belle leçon de « nivellement par le haut » (valorisation de l’effort en mettant la barre très haut, souci du travail bien fait, désir de transmettre et passion du service rendu…).
« A quoi bon des poètes, en temps de détresse? » demandait Hõlderlin.
La réponse est donnée.

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Illustration: Journal du soir de France 2, mercredi 20 mai 2015.

  1. serge says:

    « l’héritage du génie français ». Il faut oser par les temps qui courent.
    On sent le gars qui s’est désolidarisé de tout un tas d’idées politiques et d’idéologie.
    A mon avis il va bientôt se retrouver sur une liste avec Finkiekraut et Zemmour.

  2. Célestine says:

    « Atypique, fulgurant, alchimiste, hallucinatoire »… »La liberté au milieu de la contrainte ». Belles formules, du sieur Lucchini.
    Les grands auteurs ouvrent les esprits, mais qui a intérêt à ce qu’ils se referment ?
    ¸¸.•*¨*• ☆

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Patrick Corneau