parisienferli0Parité oblige et parce qu’il est inévitable comme elle, il eut été dommage de ne pas s’intéresser aussi au Parisien tel que Télérama l’a vu…

41 banalités idiosyncrasiques pour qualifier LE Parisien:

Pressé.
Gris et majestueux.
Râleur et libertin.
Pas du tout désolé de l’être (parisien) sans pour autant l’assumer vraiment.
Classe et orgueilleux.
Malpoli, pressé et curieux.
Un ancien ou un futur provincial.
Ça existe encore, de vrais Parisiens?
C’est le gavroche typique que pouvait personnifier quelqu’un comme Louis Jouvet.
Idéaliste et cynique à la fois.
Pressé, pressé.
Prétentieux, nombriliste, arrogant, et c’est grâce à ça que je passe inaperçu !
Frimeur, jovial et très fier de son Paris natal.
Fringant et énervé.
On pourrait le résumer par un autocollant à usage touristique: « I love rien, I am parisien ».
Grincheux et gentil.
Râleur et séducteur.
Un mec qui klaxonne.
Introverti et exigeant.
Hirsute et piquant.
Prétentieux et pressé.
Pressé, mais toujours en retard.
Pressé et fainéant.
Un sale con sympathique.
Tête de chien.
Débrouillard et pressé.
Efféminé mais esthète.
Râleur et impatient.
Souvent imbuvable, même avec une paille…
Impatient et décontracté par beau temps, donc rarement.
C’est un journal que je lis quotidiennement et plus particulièrement les pages consacrées au département du Val-de-Marne.
Il est à la fois rapide, nerveux, éveillé, méchant et illuminé.
Quotidien: 1,10 €.
Hétéroclite.
Bien habillé et fumeur.
Un râleur qui a souvent raison.
Généreusement impoli.
Pressé. Mais je l’ai connu mieux, il y a quelques années, lorsqu’il était insolent et joyeux.
Battant, guerrier, avec un peu de laisser-aller.
Stressé et stressé.
Rigolard et flemmard.

Illustration: photographie de Sebastian Springbett/Flickr.

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Patrick Corneau