hmorganlettrine2.1256110323.jpgimg_139095578.1266309344.jpgAvertissement: la vérité est au-delà des mots… chacun découvre dans la réalité ce qu’il sait déjà. Une vie aussi bizarre soit-elle ne nous apprendra jamais que ce que nous savions déjà.

La naissance de Patricia Vasconcelos a eu lieu à Porto Alegre (Brésil) un jour de décembre de 1961.

Vers dix ans Patricia Vasconcelos quitta le Brésil pour habiter à Barbizon; n’a pas eu une vraie enfance.

Physique: des yeux entre le jaune verveine et le vert d’eau, un nez un peu long, une épaisse chevelure flottante, des traits réguliers presque doux; le teint bistre, le front lisse, le sourire d’une personne certaine d’elle.

Sentiments: Patricia Vasconcelos a eu autrefois une brève aventure amoureuse avec Liza Hicks – Patricia Vasconcelos a une immense admiration pour Henri Purcell.

Amours: quand Patricia Vasconcelos ne voit pas Frida Kahlo elle rêve d’elle; toute son existence Patricia Vasconcelos a attendu Mary Smith.

Goûts: Patricia Vasconcelos aime les serpents; ne se déplace jamais sans Gilles de Drieu la Rochelle. Rêve d’écouter Henri Purcell dans le parc du château de Vaux-le-Vicomte; aimerait s’offrir “L’allégorie de la sagesse et de la force” de Véronèse.

Rêves: filmée, un mardi de mai en 2004, rue de Rivoli par les caméras de vidéo surveillance.

Haines: est allergique aux gourmettes et aux photophores.

Métier: Patricia Vasconcelos a perdu son emploi chez Javier Morente un matin de mars 1994.

Généralités: Patricia Vasconcelos a des yeux d’un vert très clair comme une souris, est un être au cœur tendre qui n’aime pas voir ses amis souffrir. Bien que son regard soit tout intérieur, Patricia Vasconcelos n’a pas toujours été journaliste.

Pensée: à tout bout de champ Patricia Vasconcelos déclare: « Si nous ne pouvons empêcher le temps de fuir c’est par ignorance de ses mystères ».

Illustration: photographie de Ben Whishaw

  1. J’ai cru un moment qu’il s’agissait d’un personnage fictif : mais Google me la montre (si c’est la même) en vidéo chantant, assez mal, Ave Maria.

    Déception (et puis ce genre de marcel blanc…) !

    Benoît Dehort

    Homonyme! « Graças a deus »… 😉

  2. Rodrigue says:

    Je crains bien que la vérité ne puisse être que dans les mots, mais évidemment pas n’importe lesquels, n’importe où, n’importe comment. La parole, le texte, ou tout oeuvre d’art (parce qu’elle fait sens) me semble contenir une vérité plus claire, plus pure, plus authentique que le foisonnement du vivant, qui lui, contient toutes les parades insensées (au sens premier) des communicants

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Patrick Corneau