« Ce que Leopardi disait être « le désert de la vie » était beaucoup plus supportable que le désert de la terre opéré par la science et par la raison. Sans arbres et sans animaux on ne supporte pas la vie. »*
Guido Ceronetti, Ce n’est pas l’homme qui boit le thé mais le thé qui boit l’homme, Albin Michel (1991)
* Cette phrase a été écrite en 1987.
Illustration: photographie de François Laffite
Ceronetti a bien fait de pointer le doigt sur le salaud de l’aigrie culture.
La caresse de Sarkozy laisse une empreinte ADN sur l’animal : c’est sa dédicace dans l’air du temps.