Les solos longs des violons de l’automne touchent mon cœur d’une ferveur polychrome…
Qu’est-ce que tout cela, qui n'est pas éternel? Leconte de Lisle, Poèmes tragiques (1886)
Illustration: photographies ©Lelorgnonmelancolique
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Les solos longs des violons de l’automne touchent mon cœur d’une ferveur polychrome…
Qu’est-ce que tout cela, qui n'est pas éternel? Leconte de Lisle, Poèmes tragiques (1886)
Illustration: photographies ©Lelorgnonmelancolique
« Rien n’est vrai que l’unique et morne Éternité, …toute chose est le rêve d’un rêve. »
Mais « la ferveur polychrome » peut s’offrir et s’apprécier, un court instant.
Je lis depuis un certain votre blog et je le trouve magnifique. Je n’ai pas l’écriture aussi facile mais je déguste avec bonheur vos posts.
Et là voyez vous je viens de comprendre le sens du mot polychrome.
Et les commentaires me laissent toujours réveuse.
Vos photos sont sublimes.
Merci! 🙂