Parfois, lorsque je pianote sur mon clavier, voyageant dans le virtuel, ma main a des fringales de scribe sédentaire. Quelque chose d’informulé* l’appelle à cela, elle désire écrire. Et avec un instrument des plus simples, des plus rustiques, des plus primitifs: un crayon de bois. A cause des admirables traces de charbon qui, là sur la feuille, se maintiennent mieux qu’ailleurs – tremblantes graphies qui parlent aux cœurs des hommes.

*se déconditionner du « tout image »?

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Patrick Corneau