La fascination qu’exerce la pyramide comme structure architecturale et symbole égyptien de la mort (qui « travaille » quelque part en nous), tient peut-être au fait que parmi toutes les constructions pouvant être déconstruites, détruites, elle est la seule qui, immuablement, est conforme à l’aspect qu’elle prendrait après son effondrement et ceci pour l’éternité.

 

Photo: Lee Miller, From the Top of the Great Pyramid, Egypt, 1938, Lee Miller Archives.

Laisser un commentaire

Patrick Corneau