« Le corps n’est en somme qu’une machine: la main est une Remington, le postérieur une chaise de bois ou une chaise électrique. C’est pourquoi il n’y a pas une ombre de bons sens à vouloir écarter le machinisme; l’homme n’est qu’une première ébauche que viennent compléter par la suite les lunettes et le fauteuil roulant. »
Lu dans « Vêtements II », Chroniques de Bustos Domecq de J. Borgès et A. B. Casares (1967).
N’est-ce pas la préfiguration du « surhomme » de demain, du « citoyen terminal » selon Paul Virilio, défini comme « le valide suréquipé qui contrôle son environnement sans se déplacer physiquement, à la manière de l’invalide équipé de prothèses qui, aujourd’hui déjà, agit et se déplace sans grand recours à la force musculaire »?
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