Une longue lettre d’amour à celui qui n’est plus comme l’aurait aimée l’intéressé, à savoir le malicieux et subtil historien de la philosophie, Lucien Jerphagnon. Son épouse Thérèse lui confie son chagrin avec une retenue, une dignité et une sensibilité qui rappellent les grands auteurs romains dont Lucien était le familier. Un couple tendrement complice comme deux oiseaux « inséparables » donnant au lecteur l’exemple rare d’une vie à deux construite dans un amour fait d’admiration et de respect mutuels. Par les temps qui courent une rareté et un bel exemple… A lire en complément des ouvrages de Lucien Jerphagnon pour un éclairage plus « intime » de la personnalité de cet homme exceptionnel.
Illustration: Éditions Le Passeur.