S T A T I S T I Q U E M E N T POUR ÊTRE UN BON ROMANCIER FRANÇAIS IL FAUT ÉCRIRE :
- 2 romans sur une maladie terminale.
- 3 romans d’amour/désamour.
- 1 romans sur/contre le déchirement Israël/Palestine.
- 2 romans sur l’homosexualité.
- 2 romans sur l’immigration.
- 1 roman sur la politique.
- 1 roman sur sa vie de romancier.
- 1 roman sur le changement de sexe.
[Mise à jour 2011]
S T A T I S T I Q U E M E N T POUR ÊTRE UN BON ROMANCIER FRANÇAIS IL FAUT ÉCRIRE :]
- 1 ou 2 roman(s) sur la perte d’un être cher.
- 1 roman graphique.
- 2 romans d’amour/désamour.
- 1 roman sur/contre la situation en Syrie, Iran, Palestine, etc.
- 1 roman sur l’homosexualité.
- 1 roman contre les expulsions et les sans-papiers.
- 2 romans contre le fascisme rampant.
- 1 roman sur sa dure vie de romancier.
- 1 roman sur le changement de sexe.
- + 2 reprises.
- 2 romans sur la crise.
- 1 roman sur les élections.
- 1 roman sur une catastrophe naturelle / écologique
- 1 roman sur la retraite.
Chouette, car pour les chef d’oeuvres rien n’est dit !
Il conviendra aussi de se pouvoir d’un physique avantageux et, si possible, d’un pseudonyme aristocratique. Ces temps derniers, la particule semble reprendre du galon, comme au temps des demi-mondaines. Le « talent » sera bien né ou ne sera pas.
Pardon, ma mauvaise langue a fourché : c’est de se » pourvoir » que je voulais dire. Il faudra donc se pourvoir pour pouvoir. Mais encore faut-il pouvoir se pourvoir…