« Je hais les optimistes et la religion du positivisme qui compte tant d’adeptes. J’aime les désespérés, les hommes perdus, les orphelins. Les gens qui vont bien, le proclament fièrement sans cesse, me désolent. Je ne peux leur accorder ma confiance: ils ont trop à perdre pour être fidèles et honnêtes ».
Jean-Pierre Marielle, Le Grand N’importe Quoi, Calmann-Lévy, 2010.
Jean-Pierre Marielle vous n’êtes pas n’importe quoi… Vous être Grand, Magnifique et Nécessaire! Votre voix de vieux clown-clochard rend l’état bordélique du monde presque supportable…
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