La meilleure définition que je connaisse de la lecture c’est celle de l’auberge espagnole: on ne trouve que ce qu’on y a apporté.

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P.S.: Qu’on me pardonne de taper encore sur un clou (la lecture) que j’ai planté dans de précédents billets. A force de taper sur un clou on finit toujours pas le tordre; ou même par l’enfoncer. Ou par s’écraser le pouce. Tant pis, je continue à enfoncer mon clou…

 

 

 

  1. solange says:

    Soyez quand même aimable avec votre pouce, sinon vous ne pourriez plus écrire ;-)). L’acte de lecture est une « passion impunie »; ou mieux encore, « mourir plutôt que d’abandonner ». Et dans ce même livre que vous aurez reconnu « dans le monde numérique de demain [d’aujourd’hui] que restera-t-il de ces passions impunies, de ces lectures bien faites, pour reprendre la formule de Péguy ? L’écrivain dit encore : »Je caresse la vision d’écoles de lecture créatrice » Mais où allons-nous trouver de vrais lecteurs, des lecteurs qui sachent lire ?

  2. totem says:

    Pour abonder sur cette note le maître Borges disait : » Que d’autre se targuent des pages qu’ils ont écrites, moi, je suis fier de celles que j’ai lues ».

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Patrick Corneau