Parfois, j’envie cet Arabe que nous avions trouvé un jour au cours d’un grand voyage dans le sud saharien, accroupi au bord de la route, au milieu de rien, à cent kilomètres de tout, et qui n’avait même pas tourné la tête à notre passage.
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Illustration: auteur anonyme
Quelquefois les sables du désert faisaient une petite drôle et se dessinaient une femme en dornant sur la sable chaud du milieu de rien.
« L’homme est un apprenti,la douleur est son maître
Et nul ne se connait tant qu’il n’a pas souffert »
Joli hein! Musset
Ravissant. Merci! 🙂