C’est effectivement ce qui m’a frappée lorsque j’ai visité des quantités de maisons au moment où, avec mon mari, nous voulions en acheter une. Je cherchais toujours les livres… je les trouvais tristes ces salons et ces chambres dépourvus de « vie ». Je me suis finalement dit que toutes ces familles étaient certainement inscrites à la bibliothèque municipale, ça m’a évité une mini-dépression !
PS : par contre, il y avait beaucoup de télés…
Ah! Mais sommes-nous seulement sûrs qu’il s’agit de « vrais »livres sur ces étagères?
Et si tous les textes écrits s’étaient donné…le mot, justement, pour s’échapper de ces salons loin de la « vraie » vie?
« Les vrais gens » ! intéressant. ce qui suppose le contraire « les faux/fausses gens ». La vraie vie, et les autres « leur fausse vie » ? C’est un concept auquel je n’adhère pas. Le faux, le vrai. Je préfère la réalité à la vérité. Quant aux bibliothèques, mon amie, ma presque soeur, n’a jamais ouvert un livre je crois. Quand elle regarde les miens, elle sourit et me demande si je les ai tous lus. Quelle importance. Sa tendresse est immense et ses pieds sont bien sur terre ; ce qui rassure infiniment une tête dans les nuages. Pour en revenir aux maisons sans livres, ils sont parfois bien cachés. Ma bibliothèque n’est pas accessible à mes visiteurs. Et dans mon salon point de livres. Dans ma chambre les livres en chantier, sur le parquet. Je déteste ceux qui regardent les livres en catimini, pour mieux juger leurs hôtes, et les « classer » intellectuellement. J’espère ne pas vous froisser si je suis un peu « vive ».
J’adore la « vivacité » quand elle n’emporte pas celui qui l’exprime au-delà de ce qu’il pense ou de ce qui a été à l’origine de sa « réaction ». D’où, sans doute, mes billets sur la délicatesse de la retenue… Quant aux « vraies gens » je n’ose pas croire que vous ayez pu prendre l’expression au premier degré… Pour le reste, je partage certaines choses sans pouvoir les affirmer avec votre vigueur, votre « assertivité » (« Je préfère la réalité à la vérité »: LA réalité, mais QUELLE réalité? Voir mon billet du 2 mars – pardon de m’autociter…).
😉
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C’est effectivement ce qui m’a frappée lorsque j’ai visité des quantités de maisons au moment où, avec mon mari, nous voulions en acheter une. Je cherchais toujours les livres… je les trouvais tristes ces salons et ces chambres dépourvus de « vie ». Je me suis finalement dit que toutes ces familles étaient certainement inscrites à la bibliothèque municipale, ça m’a évité une mini-dépression !
PS : par contre, il y avait beaucoup de télés…
Ah! Mais sommes-nous seulement sûrs qu’il s’agit de « vrais »livres sur ces étagères?
Et si tous les textes écrits s’étaient donné…le mot, justement, pour s’échapper de ces salons loin de la « vraie » vie?
une époque en chasse une autre …
à l’époque, beaucoup mettaient dans leur salon une bibliothèque emplie de livres « pour faire bien » même si ces derniers prenaient la poussière
ça valait peut-être mieux qu’aujourd’hui, où l’on n’est même plus complexé si l’on ne lit pas et où l’on ne fait donc même plus semblant …
j’ai bien aimé la réflexion de gballand sur l’inscription dans les bibliothèques municipales !! rêvons …
« Les vrais gens » ! intéressant. ce qui suppose le contraire « les faux/fausses gens ». La vraie vie, et les autres « leur fausse vie » ? C’est un concept auquel je n’adhère pas. Le faux, le vrai. Je préfère la réalité à la vérité. Quant aux bibliothèques, mon amie, ma presque soeur, n’a jamais ouvert un livre je crois. Quand elle regarde les miens, elle sourit et me demande si je les ai tous lus. Quelle importance. Sa tendresse est immense et ses pieds sont bien sur terre ; ce qui rassure infiniment une tête dans les nuages. Pour en revenir aux maisons sans livres, ils sont parfois bien cachés. Ma bibliothèque n’est pas accessible à mes visiteurs. Et dans mon salon point de livres. Dans ma chambre les livres en chantier, sur le parquet. Je déteste ceux qui regardent les livres en catimini, pour mieux juger leurs hôtes, et les « classer » intellectuellement. J’espère ne pas vous froisser si je suis un peu « vive ».
J’adore la « vivacité » quand elle n’emporte pas celui qui l’exprime au-delà de ce qu’il pense ou de ce qui a été à l’origine de sa « réaction ». D’où, sans doute, mes billets sur la délicatesse de la retenue… Quant aux « vraies gens » je n’ose pas croire que vous ayez pu prendre l’expression au premier degré… Pour le reste, je partage certaines choses sans pouvoir les affirmer avec votre vigueur, votre « assertivité » (« Je préfère la réalité à la vérité »: LA réalité, mais QUELLE réalité? Voir mon billet du 2 mars – pardon de m’autociter…).
😉