Que sont devenus les deux écureuils de la pinède artificielle de la bibliothèque François-Mitterrand, appelée « Très grande bibliothèque », dont une histoire apocryphe dit qu’on les aurait lâchés dans l’espoir qu’ils se reproduiraient et fonderaient une colonie nombreuse, propre à distraire les lecteurs levant à l’occasion le nez de leurs livres?
On raconte aussi que, à plusieurs reprises, des oiseaux égarés dans la forêt de la Bibliothèque ont foncé sur les arbres se reflétant dans les vitres et sont tombés raides morts après un choc sourd.
Bonjour, Je découvre votre blog, le ton particulier, émouvant dans le sens le meilleur du terme, de vos commentaires, si proche de l’hiver qui nous cerne.