Derniers jours de vacances d’août pour les hédonistes. « Eclatés » et bronzés, manageurs et managés volontaires rentrent à la niche.

Illustration: LOL

    1. « Voilà qui devait être dit.
      Car il faut avoir lu avant d’oser dire. »
      Néanmoins, la connotation que vous donnez au mot « niche » n’est pas dans ma tête (il y a des niches ouatées, dorées, etc.). En revanche, oui, en regardant bien, la photo est truquée, je ne m’en étais pas rendu compte.
      😉

  1. Cédric says:

    Alors ces mots sont moins laids que la première impression que j’en avais. 😉

    Sinon, maintenez-vous que  » Le plus profond c’est la peau  » est une citation de Lewis Carroll et non de Paul Valéry comme j’en faisais l’hypothèse dans mon commentaire au bas de votre page « Lexique P à Z ». Peut-être sont-ils deux à l’avoir écrit ?

    Bien à vous.

    1. « Ce qu’il y a de plus profond en l’homme, c’est la peau. En tant qu’il se connaît. » est de Paul Valéry, (« L’Idée fixe », 1931). En revanche, pour Lewis Carroll, je ne suis plus très sûr. J’ai l’impression d’avoir été abusé par un commentaire de Deleuze sur Lewis Carroll où il utilisait cette citation sans en indiquer la provenance.
      🙂

  2. Cédric says:

    Merci pour la forme précise de la citation et sa localisation.

    Ne sachant pas si j’étais d’accord ou pas avec ce mot de Valéry, je suis tombé sur ce site ( http://www.philolog.fr/ce-quil-y-a-de-plus-profond-en-lhomme-cest-la-peau-valery/ ) où est donné à lire le contexte global de la citation.

    Je peux maintenant affirmer que je ne vois pas la même chose que Valéry sur cette question. Car les viscères, je ne les ignore pas. La sensibilité est présente tout autant intérieurement ! Mon cœur, mon estomac, mes sinus, mes veines, me parlent. Ils sont source de connaissance autant que ma peau.

    Le plus profond n’est pas la peau, mais le vide dans l’atome qui me constitue maintenant.

    Cordialement ! 😉

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Patrick Corneau