Depuis 59 ans, chaque 1er avril le Lorgnon ne fait RIEN. Il reste vacant, fait un pas de côté. Ayant survécu à son enfer astral mais ne sachant s’il s’engage dans une Annus Mirabilis ou une Annus Horribilis comme Monsieur de Clèves, il se trouve « heureux, sans se trouver néanmoins entièrement content. »
Illustration: Le Corbeau et les premiers hommes, Musée d’anthropologie de Vancouver, photographie de Renaud Camus
votre illustration est merveilleuse. Serait-ce votre anniversaire ?
excellent…
tenez, j’en reste là, sur votre billet, je ne lis rien d’autre aujourd’hui …
Un tel corbeau à la place d’un poisson, ça change agréablement.
Bon anniversaire alors.
Merci! 🙂
Pour ma part, je vous souhaite l’Annus plutôt Bellissimibilis, remplie d’air marin et d’éclairs au café.
Merci! 🙂
Soixante ans: la jeunesse de la vieillesse. Soyez patient, laissez infuser davantage… Et vivez encore plein de 1er avril.
Merci! 🙂
J’arrive très en retard pour vous souhaiter un bon anniversaire. Ainsi, naître un premier avril engendre la mélancolie ? Ce fut peut-être le plus beau cadeau des fées.
Merci! Oui, j’assume (sans pathos excessif) ce « cadeau des fées »… 😉