Le grand poète au profil de guetteur écarquillé qui s’était voulu à l’écart de tout, de la normalité comme de la renommée, abhorrant les photographes (« un certain type d’hommes, disait-il, ne doit pas paraître sous les flash ») et les tripotages dans sa vie, demandait systématiquement à ses interlocuteurs, correspondants, admirateurs étrangers s’il y aurait (dans leur pays) « un service de malades mentaux que je pourrais voir éventuellement? » Le même se rendait chaque année au mois de mars à Alicante car c’était là, selon lui, que le printemps arrivait le plus tôt en Europe.

  1. Pingback:best fat burner

Laisser un commentaire

Patrick Corneau