« La beauté atteinte par les seins de la femme n’était-elle point la gloire la plus resplendissante de l’évolution de l’humanité? »
Yasunari Kawabata, Les Belles endormies, 1960.
[Ce billet est dédié à Frédéric Schiffter, sçavant en choses convexes et curvilignes.]
Illustration : gravure de Prune Thuillez