Une équipe d’archéologue effectue une mission en pays Incas, une petite troupe d’indiens porte le matériel nécessaire aux savants. Subitement après quelques jours de progression, les indiens refusent d’aller plus loin. On demande à leur chef la raison de cette halte: « Nous avons marché trop vite, il faut attendre notre âme. »

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Illustration: « Walking through the jungle », photographie d’Andreas Falco

  1. Tony Pirard says:

    Hier je fit une demande à le journaliste du journal libération,sur cet théme! qu’est-ce que il penssais de l’âme? tant ici au Brésil comme en France les gens nécessite d’un certain dégrée de connaissance pour donner une définition sur L ‘âme humain.
    Cette force que maintiens l’homme vif e t que les poétes exaltent dans leurs poéme!une auréole qui ronds le corps sans nous pourrons voir ,mais qu’elle existe pas doute!

  2. solange says:

    j’ai lu cette phrase ce matin assez tôt. elle m’accompagne encore. je la trouve magnifique. je n’ai pas encore fini de « l’explorer » et de « l’intérioriser ».

  3. solange says:

    Tony, votre commentaire m’intéresse beaucoup ; je suppose que vous voulez parler de l’aura autour du corps. Un jour un indien Potigura m’a parlé de cette auréole mais je n’ai pas tout compris et je crois qu’il disait qu’il ne me voyait pas, mais qu’il ne voyait que la lumière autour de moi. Serait-ce ce que vous avez voulu exprimer ? dommage que ma fille ait refusé de me faire la traduction.

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Patrick Corneau