Légendaire réplique murmurée par Orson Welles dans la cabine de la grande roue (Le Troisième Homme de Carol Reed, 1949):
« En Italie, pendant les trente ans de règne des Borgia, il y a eu la guerre, la terreur, des crimes, du sang versé, mais cela a donné Michel-Ange, Léonard de Vinci et la Renaissance. En Suisse, il y a eu l’amour fraternel et cinq cents ans de démocratie et de paix… Et qu’est-ce que ça a donné ? La pendule à coucou…« .

 

 

 

  1. zorica says:

    Malheureusement, il faudra attendre qu’il y ai plus de « troisième homme(s) pour que l’on commence à accepter quelque chose qui est Autre, le reconnaître et surtout respecter ses propos! Il me semble que les gens de l’Occident n’ont jamais fait un effort, une preuve de volonté; on préfère accuser, avoir tendance de classer de placer ce monde dans des « chablons » déjà construits et on a du mal à comprendre que quelqu’un puisse avoir un autre avis, une autre vision du monde. Lorsqu’un écrivain ou un autre être prend la défense , des serbes, comme on pourrait le faire pour ces jeunes « sauvages » marginalisés par nous même, par exemple on préfère le mettre dans le même tas avec eux que de chercher à comprendre notre propre comportement. le comportement de la masse, de la majorité qui se laisse facilement manipuler par les médias. Mais tout cela est du au fait qu’on ne pense plus avec notre propre cerveau et on ne lit plus entre les « lignes, ni entre les mots » et si jamais quelqu’un nous dise que la vérité n’est jamais là, noir sur blanc, qu’elle est ailleurs, on l’accuse, on l’interpelle! Heureusement qu’il existe encore dans ce monde quelques rares personnes qui osent lever la voix en faveur de l’accusé!

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Patrick Corneau