Patrick Corneau


Voici Ollivia, c’est un roman ou plutôt une « romance pour décourager les rossignols » dont le dénouement est inattendu…


À paraître en librairie le vendredi 6 novembre.


Disponible dans toutes les librairies ou par commande dans les librairies en ligne et en précommande sur le site du
libraire-éditeur Maurice Nadeau

Prochain billet le 5 novembre.

  1. Alfred says:

    J’ai beaucoup apprécié votre roman au scalpel, court dense sans digressions inutiles, avec son personnage principal peu glorieux (on en est tous là) qui sait d’emblée qu’il court à la catastrophe avec son Ollivia à l’âme simple pas si simple, soi-disant dupe, mais en quête d’une plus value sociale avec son professeur. Heureusement on termine sur une note positive avec la vieillesse épargnée pour l’héroïne des épidermes qui aura eu le sien préservé du massacre des années.
    J’ai tout autant apprécié les pages consacrées aux passantes Inès et Iris qui n’ont pas eu la chance de croiser Régis comme Ollivia qui l’a pourtant snobé pensant imiter les premières. Quel gâchis d’épidermes pourtant fait pour se frotter. En attendant ça fait l’affaire des professeurs.
    Bref, un vrai roman que devrait lire toutes les jeunes filles, et qu’on devrait porter à l’écran comme « La dentellière » avec lequel il a une parenté. Isabelle H. l’inoxydable pourrait encore nous l’interpréter.
    Je précise qu’il ne s’agit que de mon interprétation qui je l’espère est aux antipodes du projet de l’auteur. Le malentendu est toujours la clé du succès.

  2. Patrick Corneau says:

    Merci beaucoup pour ces impressions à la lecture d’ « Ollivia ». Vos remarques sur le personnage sont justes et sensibles ainsi que sur les « passantes », ces quelques figures de la féminité telles que l’époque en produit. Je n’avais pas pensé à faire le rapprochement avec « La Dentellière », cette dernière a néanmoins une innocence que n’a pas Ollivia. Pour l’adaptation cinématographique, on peut rêver… mais qui sait ?
    Bien cordialement,
    P. C.

    1. alfreddalban says:

      On va dire « la dentellière » à l’heure des réseaux sociaux, qui croit ne plus être naïve sans se douter qu’elle l’est encore, et qu’elle le sera toujours quoiqu’il arrive, avec un temps de retard sur les professeurs !

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Patrick Corneau